Un petit site d'une folle qui souhaite juste donner le sourire  Bienvenue sur :
momobaka  
       Un texte qui est à mon avis, déconseillé au moins de 16 ans et à toute personnes facilement heurtés par une sexualité explicité. Le contenue est très explicite et peut être perçu comme dérangeant.


                   Encore et encore

        Une journée de plus où mon esprit immonde et perverti me fait fantasmer sur quelques choses, que d’autres révulseraient. Et pendant mes heures occupées, je pense, pleine d’envie, au soir arrivant, qui me laissera libre d’action, à ce que je pourrais faire, seule dans ma chambre, éclairé de la lumière de mon PC et de ma télé. Mon esprit s’emporte et mon corps frisonne. L’envie d’être touchée m’envahit et ma raison disparaît peu à peu. Bientôt mes cours seront oubliés et rêvant de quelques beautés, mon regard vide indique au professeur ma déconnection. Il m’appelle et mon être revient. Je lis dans son regard l’impatience d’une réponse fausse pour qu’il puisse me punir. Et je me surprends à penser qu’une punition physique serait plaisante. Mon esprit est simple ; je ne m’intéresse qu’au gore et à la pornographie. Je n’ai qu’une philosophie, le sexe et l’argent font tourner le monde, c’est cette idée qui dirige ma vie. Plus l’action est violente, plus je suis excitée. Les gens voient en moi une gentille fille sage et mature mais en vrai, j’ai des désirs morbides. Sadique jusqu’au plus profond de mon âme, la torture des autres me fait jouir. Perverse en tous points, la souffrance ne me fait pas peur et toutes les techniques sont acceptées avec plaisir par mon corps.
        Les heures passent et dans le bus du retour, mon corps devient impatient. Les frissons s’accentuent encore. Chaque contact de ma chair contre la peau d’un autre me procure une sensation sans pareil, toujours plus intense, toujours plus jouissive. En arrivant chez moi, à peine mes chaussures enlevées, je cours jusque dans ma chambre pour regarder un Hentai. Le pantalon juste ouvert au bouton, je me procure du plaisir moi-même. Je me touche, je me caresse. Mon imagination s’enflamme et je ne contrôle plus mes fantasmes. Que je viole, que je torture, qu’on me viole ou qu’on me torture, tout me vas, tout m’excite. Chaque idée provoque un frisson de plaisir pénétrant un peu plus mes doigts. La vitesse s’accélère et le mouvement dedans-dehors de mes doigts est de plus en plus excitant. Mes soupirs se mêlent aux cris de mes Hentai et à l’apogée du plaisir, mes sens se libèrent et l’orgasme fait échapper un cri de ma bouche, venant du plus profond de mes cordes vocales. Je quitte alors mon lit et l’excitation encore présente me donne des vertiges.
        Tous les jours mon corps réclame ces actions et tous les jours mon esprit succombe à la tentation, tel Eve qui a succombé au serpent. Chaque jour un peu plus perverti, chaque jour un peu plus souillée.

 



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